Dans ses Journaux et carnets, Léon Tolstoï écrit en 1851 (Pléiade p.105) : « Je n’ai jamais été épris de femmes ». Ou, plus exactement, il n’a jamais connu cet amour qui mêle sensualité et affection. Très religieux – son Journal est une quête perpétuelle de ses « défauts » à corriger, les affres de sa conscience coupable – il […]
