Je n’avais pas lu Matzneff depuis dix ans, après le Carnet noir. La censure des vagins outragés (mais un peu tard pour être honnêtes…) m’incite à lire la production non encore censurée (avant qu’elle le soit définitivement). Si je retrouve dans ce nouveau roman une atmosphère, je suis plutôt déçu. C’est un roman du grand […]
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